Mercredi 22 Juin 1988 – Remords

Le matin il y eut le rituel du bonjour matinal, puis l’heure du courrier était arrivée et Monique n’était pas venue avec son parapheur et surtout son joli sourire coquin et son joli décolleté. Ce n’était pas dans ses habitudes, je pris donc le téléphone : « Bonjour Monique, avez vous reçu les courrier ? »
« Oui Monsieur, … j’arrive, … » Effectivement elle arriva, sans les sourire habituel et le visage un peu fermé.
Moi : « Qu’est-ce qu’il se passe, … ça n’a pas l’air d’aller, … tu as un problème, … »
Monique : « Non ça va, …. »
Moi : « Assieds-toi, … OK, … tout va très bien, mais, … alors racontes moi ce qui ne va pas, … nous avons passé une excellents soirée, … tu étais en pleine forme, éblouissante, vivante, … tu t’es chamaillé avec ton mari, … »
Monique : « Non, … le contraire, … »
Moi : « Attends, je ne comprends pas, … tu ne t’es pas chamaillé avec ton mari, … alors, … »
Monique : « Hier soir, … oh, tu veux savoir, … Henry partit, je me suis donné à toi, … j’en avais une folle envie, … le repas c’est bien passé, c’est vrai, … c’est après, … bon, …je rangeais dans la cuisine et, … enfin, … j’étais entrain de ranger le sucrier en haut du placard, … quand il est venu, … il s’est collé à moi, … m’a pris les seins, … et me caressant la poitrine, … il m’a dit, … tu as été très belle ce soir, … j’ai envie de toi, … viens, … je vais te faire l’amour, …»
Moi : « Ou est le problème, … c’était flatteur, … »
Monique : « Mais d’habitude, … je lui dis, … je finis et je te rejoins dans la chambre, … mais il m’a dit, … non, je te veux maintenant, … et, … assieds toi sur le table, … dégages tes seins, je les veux, … enfin, … il a relevé ma jupe, … presque arraché mon slip, … et il m’a prise, … comme ça sur la table, …
Moi : « Ou est le problème, … »
Monique : « Il m’a prise, … comme, … comme une fille, …»
Moi : « OH, … tu voulais qu’il fasse comment, … As-tu eu du plaisir, … il t’a bien fit l’amour, …»
Monique : « … Oui, … il m’a donné beaucoup de plaisir, … mais, … je ne sais pas, … je me suis donné à toi, …j’ai pris du plaisir, … puis il me prend, … et j’en au eu avec lui, … je ne sais pas, … je suis gênée, .

..»
Moi : « Alors, … t’as baisé avec ton amant, … heureuse, …t’as fait l’amour avec ton mari, … heureuse, … combien de femmes seraient heureuses à ta place, … allez retrouves ton sourire et ta bonne humeur, …je sens que tes jolis nénés n’ont qu’une envie, … et le matin, il n’a pas remis le couvert, …»
Monique : « Oh, … non, … il m’a pris dans ses bras, … en disant,… viens, j’ai envie de toi, … et, … je me suis sauvée et lui ai dit samedi tu m’emmènes en boite et au retour on verra, … ça l’a calmé, … dis, … pourquoi, quand tu es à coté de moi, … je ne pense qu’à ça, … j’ai toujours envie de toi, … dis, … tu as toujours envie de moi, …tu finiras ce qu’on a commencé hier, … »
(En fait, j’avais embauché cette dame pour ses qualités professionnelles. Au cours de ma carrière, je n’avais jamais accepté une invitation personnelle, là, je l’avais acceptée, car à la du fin du mois je quittais mon poste et aussi car ils avaient vécus au Sénégal comme moi. Elle avait peut-être essayé son charme sur le « patron ». Mais, surtout, j’étais là au bon moment, au moment où une certaine routine c’était crtainement installée dans le couple. Et tout était parti de là. D’autre part ce qu’elle ne savait pas, c’est que dès qu’elle était là à coté de moi, … sentir son odeur personnelle m’excitait, caresser sa peau et surtout l’intérieur de ses cuisses, cela me faisait bander, … se donner comme elle le faisait était enivrant, … le matin j’attendais avec impatience sa venue avec le courrier, … en un mot elle m’attirait, j’avais envie d’elle, … de plus elle ne faisait pas que se donner, … elle participait et elle aimait ça, …)
Moi : « Tout ce que tu veux, à condition d’avoir un sourire, … une meilleure vue sur les gorges, … et va chercher le document, tu sais le Mémo, …il est extrêmement important pour moi, .. »
Monique un peu plus guillerette : « Je vais chercher le Mémo, … je te l’amène, … »
Elle revint, au passage de la porte, elle dégagea légèrement son décolleté et me remis le Memo avec le sourire.

Monique : « Est-ce que peux partir, … »
Moi : « Non, … J’aimerais le parcourir rapidement, … reste à coté de moi, pour voir, … »
Monique avec un petit sourire : « Non, … tu ne serais pas content, … je reviens,… » Quelques minutes plus tard elle était à coté de moi : « Je suis prête, … regardes, j’ai une jupe large, … je veux te sentir me caresser la cuisse en montant, … je t’attends, … je ne demande que ça, …»
Il n’y avait pas plus clair, sans hésiter, alors que légèrement penchée sur le Memo, en passant par l’arrière de sa jupe, j’arrivais facilement à la chaleur de sa chatte, qui fut immédiatement investie par deux doigts. Le fourreau était chaud et Monique ouvrant légèrement les cuisses se planta un peu plus sur les doigts, « Doucement, … prends moi comme ça, … »
Moi : « je vais prendre, aussi, ton joli cul, … »
Monique : « Non s’il te plait, … je ne me suis pas préparée, … ce soir, … je resterais après les heures, … je veux profiter de toi, … ne t’arrêtes pas, … je suis toute chaude, … ça va venir… continues, … c’est bon,… OOOOOHHH, …OUIIIIII, … » et ses cuisses se serrèrent sur ma main : « Je suis folle, … je me conduis comme une salope, … mais, je suis heureuse, … c’était bon, … », elle avait pris son plaisir, mais moi je bandais dur et faire quoi, … Elle partit et j’essayais de travailler à ce Memo mais peu concentré, pourtant c’était important, mais cette femme me faisait faire n’importe quoi, …
Vers onze heures, j’appelais Monique et lui dis : «Pouvez-vous venir reprendre le Memo, … »
Elle arriva un joli sourire aux lèvres et je lui dis : « J’ai corrigé le Memo, mais pendant la lecture j’ai eu, … une grosseur, … »
Monique me regardant et passa sa langue sur ses lèvres, lentement, dans un geste non équivoque : « Si tu veux, … Je pourrais m’en occuper, … »
Moi : « Tu préviens les dames que tu es obligée de partir vers 11,30 heures pour une course, … et on se retrouve au parking, … après, à 12,30, j’ai le déjeuner du syndicat des routes, … tu seras alors disponible pour aller déjeuner,… »
Monique : « Oui, … ce que tu veux, … Je vais m’occuper de toi, … »
Moi : « Et on se revoit ce soir, … »
Monique : « Oui … dis moi que je suis folle, … t’as toujours envie de moi, … dis le moi, … à toute à l’heure … »
Un peu avant midi passé j’étais au parking, Monique arriva rapidement après, descendit de voiture et vint se coller à moi et une partie lèche museau commença, partie qui comprenait un corps à corps où le corps de Monique se frottait au mien d’une façon des plus excitante, et elle senti sur son ventre le résultat de ce corps à corps « Je vais m’occuper de toi, … oh, … je te veux dans ma bouche, … j’aime prendre ton sexe dans ma bouche, … et le sentir gonfler, durcir, … et je sais que si je continue à te sucer tu vas remplir ma bouche, … j’aime, … quand tu me donnes ton plaisir, …» et s’accroupissant, je l’aidais à sortir mes outils, qui se sentaient à l’étroit et elle se mit à s’occuper de la chose avec délicatesse, ses doigts se mirent à parcourir ma hampe en les effleurant, j’avais l’impression d’avoir une queue prête à éclater, puis elle s’attaqua avec le bout de sa langue et à petits coups à mon gland, pour enfin me prendre entièrement, ses doigts continuant leurs caresses, c’était d’une sensualité formidable et me lâchant quelques instants, elle me dit : « J’aime te sentir vibrer dans ma bouche, … » et elle se remit aussitôt à pomper, ce qui ne dura pas longtemps, car j’éclatais brutalement dans sa bouche.
Ses lèvres et ses dents se contractèrent pendant que je me vidais avec un soupir de plaisir. Elle avala le tout et se redressant contre moi : « Dis, … tu as aimé, … »
Moi : « Tu es merveilleuse, … tu seras libre après le travail, … »
Monique : « Pour toi, … oui, … J’ai prévenu que j’aurais encore du travail à cause de ton départ, … je veux que tu t’occupes de moi, … et que tu finisses ce que tu as commencé hier, …je serais prête pour toi, … » et un léger baiser sur les lèvres, elle était dans sa voiture, et pour ma part, direction le restau.
L’après-midi se passa normalement, je finissais mon Memo de départ et rangeais différents documents afin de laisser à mon successeur des dossiers clairs. Un peu avant 18,00 heurs je quittais les bureaux et allais me garer sur le parking, à notre emplacement privilégié, tranquille et surtout discret.
J’attendais Monique appuyé à ma voiture, elle se gara et arriva nettement plus guillerette.
Moi : « Alors, jeune fille, … on a retrouvé son sourire, … le moral est au beau fixe, … »
Monique : « Je ne sais pas, … je ne sais plus, … tu me tourneboules, … tu as tout fait pour que j’ai envie de toi, … d’un autre coté, … tu vas partir, … je vais te regretter, … d’un autre je me dis que c’est plus raisonnable, … et là, … j’ai envie de toi, … que tu me prennes, … que tu me fasses jouir, … tu m’a promis de t’occuper de moi,…embrasses moi, …» et elle vint contre moi. Une langoureuse partie de lèche museau commença, nos deux corps collé l’un à l’autre, et il se fit que j’avais la jambe droite entre ses cuisses et Monique avait son entrejambe qui s’y frottait, c’était assez excitant. Enfin, elle se recula, sans quitter ma cuisse et ouvrit son corsage : « Ils sont à toi, … j’aime que tu les prennes en bouche, … et après, … »
Moi : « Qu’est-ce que tu veux faire, … »
Monique : « J’ai envie, …je voudrais, …j’aimerais, … que tu me lèches doucement, … j’aime sentir ta langue, … quand tu fais ça, … j’ai l’impression de m’ouvrir à toi, … puis, … je te prendrais dans ma bouche, … pour te sentir gonfler, … durcir, … et, … alors tu me prendras, … comme tu veux, … on, … je veux être ta femelle, … tu aimes ça, … et, … moi aussi …»
Je l’aidais à s’asseoir sur le capot et elle bascula et en remontant sa jupe elle écarta les cuisses, la chatte offerte, que je m’empressais d’honorer de ma langue et de mes doigts, avec une légère incursion vers et dans sa rosette, …
Monique au bout de quelques minutes : « Arrêtes, … si tu continues je vais jouir, … à moi de te goutter, … » et se laissant glisser du capot elle s’attaqua à ma braguette pour en sortir mon matériel, que sans hésiter elle humidifia de quelques coups de langue avant de prendre à pleine bouche mon gland pour l’aspirer et le lécher.
Elle mettait tant d’ardeur à l’ouvrage, que je dus l’arrêter si je voulais la prendre et je lui dis : « On va finir, … ce qu’on a commencé hier soir, … installes toi sur la banquette arrière, …» Sans hésiter elle se mit en levrette, son joli cul à hauteur de mes affaires. Je lui caressais les fesses, puis du bout des doigts, je parcourais le sillon de sa chatte prolongé par celui des fesses et faisant plusieurs fois ce joli parcours, en m’enfonçant de plus en plus chaque fois et sachant qu’incessamment elle allait rouspéter et exiger que je la baise, et c’est ce qu’elle fit : « Arrêtes, …tu m’excites, … tu m’excites, … et puis rien, … prends moi, .. . » Elle n’avait pas finie que j’investissais sa chaude et humide chatte, remplissant son fourreau de ma queue ce qui se traduisit par : « Enfin, … tu décides, … oui, … j’aime te sentir là, … dis moi que tu aimes, … ouiiii, … baises moi fort, … OOOOHHH, c’est bon, … continues, … »
Elle s’était complètement affalée sur la banquette, le cul bien proéminant et elle avait glissé une main vers sa chatte ce qui me fit penser que c’était le moment de changer de cible et me retirais de sa chatte pour me positionner sur sa rosette et à peine retirée il y eut : « Non, … ne fais pas ça, … j’étais prête, … ça venait, … » et tâtant sa rosette avec le bout de ma tige, pour pouvoir la pénétrer en douceur, Monique changea presque immédiatement de registre et posant ses deux mains sur ses fesses les écarta et alors que je commençais à lui chatouiller la rosette :
« Oui,… prends moi, mon cul,… je me suis préparé pour toi, … pour t’accueillir, … oui, encules moi, … j’en ai envie, … rentres doucement, …… j’aime que tu me prennes comme ça, … j’aime que tu me montes, … dis tu aimes que je sois ta femelle, … OOOOHHHH, … c’est bon, … je sens que ça vient, … ne t’arrêtes pas, … »
Moi : « T’as pas envie de t’occuper de ton minou, … je suis certain qu’il s’ennuie, … et qu’il attends que tu le caresses, … dis moi que tu aimes être prise des deux cotés, …»
Monique : « Tu es un monstre, … oui, … j’aime me caresser, quand tu me prends comme ça, … continues, … OH, … occupes de toi de mes fesses, … j’aime, …» et j’y allais de plus belle et cramponné à ses hanches, j’y allais à grands coups de reins, sans oublier de belles tapes sur ses jolies fesses, ce qui se traduisait par : « Oh, … oui, … prends moi bien, … prends mon cul, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … OOOHHH, … OOOHHH, … OUIIIII, … remplis moi, … OUIIII, … continues, … OUIIIIIIII, … je JOUIIIIIIIS, … » et elle spasme qui la contracta brutalement me coinçant dans son joli cul dans lequel, bien enfoncé, je me vidais complétement. Elle s’affala sur le siège m’éjectant pour le coup. Enfin reprenant ses esprits, assise sur la banquette, alors que je m’occupais de ranger mes outils, elle me prit la queue et y déposa un petit baiser en disant : « Elle s’est bien conduite, … tu m’as donné du plaisir… »
Enfin sortant de la voiture, elle rabattit sa jupe et pris un sac dans sa voiture en mettant un slip elle dit : « Il faut que je me rende présentable, … et que j’évite de salir ma jupe, … à demain, …» et elle vint pour un corps à corps aussi sensuel qu’excitant, qui ayant duré un peu longtemps, m’aurait certainement engendré des idées !!!!

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